5 août 2008
Dream Time
Le temps s'écoule doucement,
Et je m'aperçois t'embrassant.
Le fleuve onirique m'emporte,
Ouvrant une nouvelle porte.
Je cours vite, pieds nus dans l'herbe,
Et tous mes désirs sont présents,
Rassemblés en cette gerbe,
Cadeau de Dieux fantasques, déments.
Je ne vois rien devant, derrière.
Cela est dû a l'atmosphère,
Epaisse comme une motte de terre.
Je me répète alors : Espère.
J'me réveille soudain en sursaut,
Dieu! Ce n'étaient que rêves déserts!
J'en ai fait de bien plus beaux.
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